Drame, Guerre, Drama, War .
116 min
Notre note: 5/10
Stanley Kubrick |
Matthew Modine Pvt. Joker |
Adam Baldwin Animal Mother |
Vincent D'Onofrio Pvt. Pyle |
R. Lee Ermey Gny. Sgt. Hartman |
Dorian Harewood Eightball |
Bah finalement, ça a beau être culte, ça ne l'est pas pour moi (je ne pars pas comme ça, j'étaye un peu dans la critique détaillée).
J'en avais un meilleur souvenir. Je me rappelais plutôt bien de la 1ère où on suit la transformation d'individus en une entité : un marine ça meurt, mais pas le corps des marines. Si avec ça t'as pas envie de devenir soldat! Bah t'as tout compris. Les répliques de l'instructeur sont plutôt marrantes mais très vite gâchées par la manière de les dire : EN GUEULANT. Oui oui, un instructeur ça crie tout le temps, je sais, j'ai vu Hot Shots. Mais quand même *mime de Ross qui demande de baisser le volume*. C'est certainement la fin de cette partie qui m'avait laissé une bonne impression.Vient la seconde partie sans transition, sans lien, où on voit des soldats s'ennuyer et attendre que ça se passe. Pour la peine, j'ai fait comme eux mais en m'endormant. Si je dors, difficile de donner un avis, si ce n'est que c'était peut-être soporifique? Enfin, la dernière partie. Le combat est assez prenant et captivant, mais c'est somme toute assez banal mon ptit baleine. On finit par se retrouve face au cas de conscience de Guignol vis-à-vis de la tireuse d'élite : la buter et se montrer humain, ou la laisser souffrir pour venger ses petits camarades moins vivants qu'auparavant? L'absence de psychologie de personnage, à part pour soldat baleine qui glisse doucement vers la folie meurtrière de son bourreau, et finalement l'absence d'enjeux dramatiques auront eu raison de mon jugement. Le film n'a de culte que sa (full metal) jaquette.
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